Recueil de témoignages positifs d’accouchements

Au fil des rencontres, une chose m’a profondément marquée : la majorité des récits autour de l’accouchement sont empreints de peur, de douleur ou de perte de contrôle.

Dans mes échanges avec les futures mamans, ou même simplement entre amies, j’entends souvent les mêmes inquiétudes :
– la peur de la douleur,
– la peur que “ça se passe mal”,
– Parfois même la volonté d’une césarienne de convenance, uniquement pour éviter la souffrance.
(Certaines césariennes sont nécessaires, vitales, et il est important de le reconnaître aussi — et c’est parfaitement OK.)

Mais ce qui revient le plus souvent, c’est cette phrase :

« Autour de moi, je n’entends jamais de récits positifs. »

 Et si on changeait ça ?

J’ai envie de montrer une autre facette de la naissance.
Celle que l’on oublie trop souvent, mais qui existe bel et bien :

  • – Que la grossesse et l’accouchement ne sont pas des maladies,
  • – Que dans 80 à 85 % des cas, tout se passe bien, naturellement,
  • – Que seules 5 à 7 % des naissances nécessitent une intervention urgente,
  • – Que le corps des femmes est puissant, instinctif, et qu’il sait enfanter.

 Pourquoi ce recueil ?

Parce que je crois profondément en la puissance des récits.
Parce qu’un témoignage peut transformer une peur en espoir, une angoisse en confiance.
Parce que lire des mots vrais, lumineux, même dans l’intensité, peut aider une femme à croire à nouveau en elle, en son corps, en sa capacité à donner la vie.

 Tu veux participer à ce projet ?

Si tu as vécu un accouchement que tu souhaites partager, quelle qu’en soit la forme (voie basse, à l’hôpital, en maison de naissance, à domicile…), et que tu en gardes une trace positive, ton récit a toute sa place ici.

Tu peux m’envoyer ton témoignage :

Tu n’as pas besoin d’être une grande écrivaine. Ce que je cherche, ce sont des récits sincères, vrais, lumineux, puissants… comme toi.

Merci pour ta confiance,
Merci pour ta voix,
Merci de contribuer à ce mouvement de réappropriation de la naissance.